"Tout brûle, so what ?" pièce écrite et mise en scène par Côme de Bellescize pour la compagnie du Théâtre du Fracas, en résidence au Théâtre Scarron.
(Séances du 5 et du 6 fev. 19)
La lumière de travail est basse et les basses lumières ce n'est jamais très simple pour un photographe.
Je travaille avec ce qui s'offre à moi, je ne bouscule rien, tout est cadeau, tout rentre dans ma boîte noire, voleuse de tout et des petits riens.
On y trouvera des chaises (*) sur leurs 4 pieds parfois habillées d'un corps toujours délicat, des chaises renversées et déséquilibrantes comme de nouveaux codes à intégrer, des visages au repos au travail à l'écoute, regard égaré, des perruques comme des gyrophares hirsutes, signes baroques dans un espace géométrique et minimal.
L'art donne/trouve du sens à un monde dont l'identité profonde est en chacun de nous, en déplaçant la matière meuble, en jouant avec les objets, des mots, des diagonales et des médianes, en longeant des obliques et des verticales, en rêvant d'être un geste singulier exprimant une pluralité humaine, dans un cadre donné (ici l'espace noir du théâtre)...
(*) La chaise : objet emblématique de mon travail depuis quelques siècles, dont on peut avoir un petit aperçu récent ici : https://www.flickr.com/photos/leliepvre-alain/ et là https://leliepvre-alain.blogspot.com/2019/01/theatre-de-lephemere-dancefloor_21.html
Quelques photographies de plateau :
(Séances du 5 et du 6 fev. 19)
La lumière de travail est basse et les basses lumières ce n'est jamais très simple pour un photographe.
Je travaille avec ce qui s'offre à moi, je ne bouscule rien, tout est cadeau, tout rentre dans ma boîte noire, voleuse de tout et des petits riens.
On y trouvera des chaises (*) sur leurs 4 pieds parfois habillées d'un corps toujours délicat, des chaises renversées et déséquilibrantes comme de nouveaux codes à intégrer, des visages au repos au travail à l'écoute, regard égaré, des perruques comme des gyrophares hirsutes, signes baroques dans un espace géométrique et minimal.
L'art donne/trouve du sens à un monde dont l'identité profonde est en chacun de nous, en déplaçant la matière meuble, en jouant avec les objets, des mots, des diagonales et des médianes, en longeant des obliques et des verticales, en rêvant d'être un geste singulier exprimant une pluralité humaine, dans un cadre donné (ici l'espace noir du théâtre)...
(*) La chaise : objet emblématique de mon travail depuis quelques siècles, dont on peut avoir un petit aperçu récent ici : https://www.flickr.com/photos/leliepvre-alain/ et là https://leliepvre-alain.blogspot.com/2019/01/theatre-de-lephemere-dancefloor_21.html
Quelques photographies de plateau :
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| Des gyrophare hirsutes |
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| "Ça à le goût du sacrifice." |
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| Côme de Bellescize |
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