Théâtre de l’Éphémère
Mise en scène : Didier Lastère
Avec : Yves Barbaut, Alain Bert et Danielle Maxent
Scénographie : Jean-Louis Raynaud
Espace sonore : Amélie Polachowska
Création lumières : Stéphane Hulot
Costumes : Christine Vallée
Assistanat à la création : Axelle Lebatteux
Régie générale : Jean-Philippe Barrière et Rafi Wared
Production Théâtre de l’Ephémère – Scène conventionnée pour les écritures théâtrales contemporaines
SÉANCE DE TRAVAIL
17 01 19
Le dancefloor se découpe lumineux et flottant comme un vaisseau dans le noir du théâtre, comme la mémoire qui s'éparpille – le puzzle des souvenirs, construit patiemment au fil des ans, se démonte. À moins qu'il ne s'agisse du contraire : une nouvelle mémoire se dessine, de nouveaux paysages inconnus s’étendent sans limite. Lorsque la lucidité fait un saut inopiné au bord de la conscience malmenée, c'est tout l'être qui s'effraie et chute, précipitamment.
Les émotions m’attrapent : je ris et je retiens un chagrin humide.
Vivre donc, baiser, jouir, caresser, aimer, tout sens éveillé, corps et âme – trompons le monde et ses tombes !
Quelques portraits :
Mise en scène : Didier Lastère
Avec : Yves Barbaut, Alain Bert et Danielle Maxent
Scénographie : Jean-Louis Raynaud
Espace sonore : Amélie Polachowska
Création lumières : Stéphane Hulot
Costumes : Christine Vallée
Assistanat à la création : Axelle Lebatteux
Régie générale : Jean-Philippe Barrière et Rafi Wared
Production Théâtre de l’Ephémère – Scène conventionnée pour les écritures théâtrales contemporaines
SÉANCE DE TRAVAIL
17 01 19
Le dancefloor se découpe lumineux et flottant comme un vaisseau dans le noir du théâtre, comme la mémoire qui s'éparpille – le puzzle des souvenirs, construit patiemment au fil des ans, se démonte. À moins qu'il ne s'agisse du contraire : une nouvelle mémoire se dessine, de nouveaux paysages inconnus s’étendent sans limite. Lorsque la lucidité fait un saut inopiné au bord de la conscience malmenée, c'est tout l'être qui s'effraie et chute, précipitamment.
Les émotions m’attrapent : je ris et je retiens un chagrin humide.
Vivre donc, baiser, jouir, caresser, aimer, tout sens éveillé, corps et âme – trompons le monde et ses tombes !
Quelques portraits :
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| Didier Lastère, metteur en scène, remplace un comédien absent à cette séance de travail |
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| Et puis la chaise : j'y reviendrai... |
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