Un Cortex à l'Austral
(19/06/18)
avec des italiens qui nous fagotent un psychédélisme élégant, grinçant
de sons garage, des voix justes et puissantes, et un dernier quart
d'heure où l'énergie s’émancipe jusque dans mes pompes (c'est pour
dire...). De l'Art, quoi...
Avant...
...et surtout après
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