Le vilain petit canard -- Revue

Cher-es ami-es, lectrices, lecteurs, abonné-es présents ou futurs,

Oui, vous ne rêvez pas, vous avez devant les yeux la lumineuse couverture (dessinée par Catell Ronca) du numéro 4 du canard.
Numéro 4 qui vient juste de sortir, que Michel de l'imprimerie Ravin Bleu va nous livrer pas plus tard que demain et que nous confierons à la diligence de la poste mardi 7.

Les rares personnes qui l'ont lu disent que c'est notre meilleur, et c'est heureux que ce ne soit pas le pire : il fait quand même 64 pages (et coûte 6 €) !
Dont un conte de Muriel Bloch illustré par Mireille Vautier, des bandes dessinées dans lesquels des résistants ont rendez-vous avec l'Histoire, des chiens organisent des élections et des moines font vœu de silence. Ainsi qu'un long dossier (?!...Après Charlie) qui revient sur les questions de liberté d'expression, d'égalité, de religion, d'humour, de blasphème, de démocratie, d'islamophobie et d'antisémitisme. Dossier dont on espère qu'il sera utile et "distreizant", discuté dans les collèges, les lycées, les familles, les médiathèques, partout.
Au sommaire il y a encore : un proverbe chinois en forme de petit pantin à monter soi-même par la graveuse Marine Rivoal, le chaotique Typhon qui menace l'ordre établi chez les Grecs, un article sur la libération de Kobané par Anouk Colombani, trois dessins dont deux cartes postales par le fabuleux Stril, une lettre pas piquée des vers de l'inspecteur Berlut à son chef par l'enquêtrice Anne-Laure Marie, et le beau poème de Carl Norac illustré par Géraldine Alibeu, non pas sur une, mais deux pages, oui Monsieur, oui Madame !

Si vous n'êtes pas encore abonné-e, je crois qu'il ne vous reste plus qu'une chose à faire : le faire en ligne ou envoyer un petit (18€) chèque au Vilain petit canard, 27 rue saint Ambroise, 75011 Paris. C'est quand même un an de bonheur pour l'équivalent de deux paquets de cigarettes ou d'une barbe à papa miniature à Disneyland, et c'est 600 fois moins cher qu'un abonnement à des journaux 700 fois moins bien.
On dit ça, on dit rien, comme les moines (voir page 38 du canard).
Mais si, si, disons-le : on rêve que vous vous abonniez, que vous abonniez vos proches ! Parce que pour l'instant, d'ailleurs c'est écrit dans la rubrique philosophique page 31, la situation (financière) est mauvaise. Très mauvaise. Voir ci-dessous !

En espérant pour vous des bonnes choses par milliers, et pour nous de nouveaux abonnements par centaines (dans un premier temps), on vous envoie des besitos inquantifiables, inqualifiables et démesurés.

A bientôt !
Le Vilain petit canard

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